Entropa

David Cerny: Entropa.

Il s'aggissait au départ d'une commande du gouvernement tchèque à l'occasion de sa présidence à l'Union Européenne en 2009. Exposée en Belgique et composée par 27 modules la sculpture était censée symboliser chaque pays de la communauté Européenene. 

Or l'artites plasticien tchèque, bien connu pour son goût de la provocation a représente chacun avec le plus gros stéréotype qui lui est communément attribue. 

La France se voit affublée d'une banderole affichant "Grève" la Suède reçoit un logo Ikea, la case pour l'Angleterre est tout simplement vide… Un vrai pied de nez qui a failli tourner à l'incident diplomatique.

Dirty Coner (2015)

Une sculpture censurée est l'oeuvre d'Anish Kapoor qui s'appelle Dirty Corner (2015) installé dans le parc du Château de Versailles mais actuellement elle est exposé au Musée d'Art Moderne et Contemporain de Saint-Étienne.

Cette oeuvre a certaine caractère antisémite.Il est un des artistas le plus critiqués de la scène artistique contemporaine. L'oeuvre fait débat parce qu'elle était au Château du Versailles quand il donne carte blanche mais cette sculpture surnomme Le Vagin de la Reine. 

Beaucoup des personalités du monde culturel condamnet la connotation sexuelle de la sculpture quand d'autres salvent la liberté d'expression qu'elle représente. L'oeuvre est vandalisée de nombreuses fois.

Cette annonce survient à la veille des Journées du Patrimoine, mais aussi du passage devant le Parlement de la loi "Libérté et création" censée mieux protége, les artistes contre les dégradations mais ausi conre l'intimidation et la censure. 

Atelier Van Lieshout, Domestikator, 2017

Atelier Van Lieshout, Domestikator, 2017

                          

Le Domestikator de Van Lieshout est une immense sculpture de 12 mètres de haut constituée de briquettes, représentatn un acte sexual façon Tetris qui évoque un couple en position de levrette. Déjà exposée sans problème à la de Bochum (Allemagne) mais le Louvre avait refusé d'accueillir cette oeuvre néerlandaise. 

Dans un courrier adressé à la Fiac motivant son refus, le présedent du Louvre Jean-Luc Martínez écrivait que "des légends sur l'internet circulent et attribuent à cette oeuvre une visión trop brutale qui risque d'ètre mal perçue par notre public traditionnel. Par contre le Centre l'accueillerá à bras ouvers.